mardi 9 octobre 2012

"Ca fait tellement du bien d'aimer les gens qu'on aime que ça fini par faire mal. Et j'sais pas comment on survit à ça." (LOL)

C'est vraiment étrange cette sensation. On a commencé à  sympatiser, rien de plus. Puis, tu m'as parlé tous les soirs. Je t'ai laissé mon numéro. Enormément de discussions. On se voyait tous les jours. Des regards. Des insinuations. Une pointe de jalousie. Des soirées. Des moments de complicités. De longues discussions dans ta voiture, le soir, jusqu'à 5h du matin. Un baiser, vers 3h du matin, le 11 juillet 2012. Le début. Notre début. De la peur. De l'angoisse. Tu as une fille. Ton air désinvolte. Ton "je-m'en-foutisme".

Désormais, c'est bête, mais je ne vois plus ma vie sans toi. Pourtant, ça ne fait même pas deux mois, mais tu as vraiment pris une place importante dans ma vie, dans mon coeur. Et c'est ça qui me fait le plus peur.
(le 03.06.12)

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Le 09.10.12,

C'est fini, c'est fini depuis le 21. Tu m'as abandonnée. Totalement abandonnée. Je suis nue. A fleur de peau, les larmes aux yeux. Depuis deux semaines, pas un seul jour ne passe sans que je pense à toi, en me demandant ce que tu fais, est ce que tu penses à moi quelques fois. Et puis, je sens ce coup de poignard, au niveau du coeur, de t'imaginer avec une autre. Merde quoi. J'étais là moi. J'aurais fait tellement de chose pour toi, je me sentais prête a accepter ta fille, à faire des kilomètres pour te voir, à attendre que tu sois prêt à ouvrir ton coeur, et ça, c'est contre mes habitudes normalement. Tu m'as totalement aveuglé, avec tes "ce sera mieux quand j'aurais ma maison". Tu m'as toujours dis "moi, je n'ai peur de rien", mais moi, je vais te dire un truc que tu ne sais pas : tu as peur des filles qui savent ce qu'elles veulent et de tout ce qui devient sérieux. Je m'explique : les fois où tu as été les plus proches, les plus gentilles avec moi, c'est quand je te disais que j'avais peur, que je doutais de nous. A partir du moment où je t'ai dis que je n'avais plus peur, et que ça faisait deux mois, là, ça a commencé à dégringoler.

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